Bienvenue !

L’association Générations et Cultures œuvre depuis plus de 40 ans
dans les Hauts-de-France pour lutter contre le sentiment
de solitude et la précarité économique.

Vous trouverez ici tout ce qu’il faut savoir sur nos différentes actions.

40 ans d’expérience

Créée en 1981, Générations et Cultures développe ses actions depuis plus de 40 ans !

Un rayonnement régional

Générations et Cultures agit sur tout le territoire des Hauts-de-France.

La force du réseau

Générations et Cultures est membre du réseau national Cohabilis.

Nos engagements

Nos actions

L’intervention en résidence sociale Areli et Adoma

En harmonie

Créer des liens entre les migrants âgés isolés de plus de 60 ans, les adultes âgés de 25 à 55 ans résidant dans les foyers et résidences sociales et l’ensemble des habitants du territoire concerné.

Le logement intergénérationnel solidaire

Des centaines de binômes

L’association propose deux dispositifs de cohabitation intergénérationnelle solidaire : « Un toit à partager », au domicile d’une personne âgée et « Un toit parmi les âges », en établissement médico-social d’hébergement collectif.

Le Printemps de l’intergénération

En Avril

Le réseau Assemblage, dont Générations et Cultures est membre depuis la création, organise chaque année un grand temps d’échange autour des bonnes pratiques et projets d’innovation sociale de la région.

Nos Actions

Nos Dispositifs

Un toit à partager

Fondé sur le double constat de la solitude des uns et de la difficulté à trouver un logement des autres, le dispositif de cohabitation intergénérationnelle solidaire « Un toit à partager » voit le jour en 2009.

Le concept ? Mettre en relation une personne à la recherche d’un logement avec une personne plus âgée d’au moins une génération disposant d’une chambre meublée disponible.

Un toit parmi les âges

En 2016, Générations et Cultures est sollicité par le directeur d’un EHPAD de la métropole lilloise pour réfléchir à la possibilité de loger un jeune au sein de l’établissement. Son souhait est d’apporter un souffle de jeunesse permanent à l’établissement et de proposer un lien intergénérationnel au quotidien aux résidents…

Création d’ Un toit à partager

Binômes accompagnés depuis la création

% de satisfaction

Communes d’implantation

L'association est membre de :

Nos partenaires :

TEMOIGNAGES

Ce qu’en disent nos bénéficiaires

Monique (83 ans), héberge Bastien (19 ans)

On fait sa popote à part le midi et le soir, on prend un dîner en commun, on s’est accordé sur l’heure. Il m’aide pour l’ordinateur, ça c’est très important. Il est d’accord sur tout …

Monique 83 ans.

Je peux sortir, inviter des copains pour travailler. On arrive dans une ville qu’on ne connaît pas. Alors en partageant un peu de temps avec un habitant, on apprend vite ou  trouver un médecin, des commerces… Les liens se tissent tout naturellement.

Bastien 19 ans.

Béatrice Arrageoise de 65 ans héberge Fan Yang, chinois de 23 ans étudiante en gestion du patrimoine.

Je préférais optimiser ma maison avant de la vendre. J’avais de la place, et je ne suis pas faite pour vivre seule […] j’ai trouvé une fille en elle. On est différentes, amis complémentaires. On s’attend l’une l’autre, on se tient informées de nos emplois du temps respectifs. on partage plus que le quotidien.

confie Béatrice.

Une amie participait déjà au dispositif Un Toit A Partager. Elle m’a encouragée à essayer […] Mon ambition est d’améliorer mon français, c’est vrai. mais aussi de découvrir la culture française, les habitudes, la vie quotidienne.Mes parents sont rassurés de me savoir ici […] Tous les jours, on lit les journaux ensemble. On regarde les informations et madame Béa m’explique ce que je ne comprends pas.

Fan Yang 23 ans

La maison de retraite les Orchidées à Lannoy héberge Ando, 19 ans

Depuis le 1er février, la maison de retraite les Orchidées à Lannoy héberge Ando, 19 ans. Cette situation arrange aussi bien l’étudiante malgache, qui paie un loyer modéré, que l’établissement, qui souhaite s’ouvrir vers l’extérieur.

Quand on part toute seule à l’étranger, ce n’est pas évident […] au début j’avais un peu peur. il n’y a pas de maison de retraite à Madagascar : les personnes âgées vivent chez leurs enfants et leurs petits enfants

confie Ando.

Elle n’est ni salariée, , ni stagiaire, ni bénévole […] Les résidants ne parlent pas beaucoup à table. Le fait qu’elle vienne de l’étranger constitue un support à la communication

explique le directeur de la maison de retraire Arnaud Rousseaux, pour qui la présence d’Ando est bénéfique.